18 octobre 2008
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20:00
résumé des épisodes précédents :
ooh ouii... ooh oui... oh oui oh oui oh oui! oh oui! ah oui! ah oui! ah oui!
ooh ouiiii!! ooooh ouiiiiiiiiiii!!!...
You know his name.
Forcément.
C'est lui qui le premier a mis le feu aux poudres en revisitant façon lounge (il aurait même créé le genre selon certains thuriféraires, laissons-les yoyoter) les grands classiques de la musique classique et du patrimoine populaire. Maître à diriger des Raymond Lefèvre et autres Paul Mauriat (ils furent chacun son pianiste), il est d'une époque où les chefs d'orchestre étaient plus célèbres que les interprètes. Aujourd'hui, un André Rieu ne saurait être concurrencé par un gigoteur de fosse d'orchestre, et c'est bien triste à reconnaître.
Certes, Franckie ne joue pas dans le même registre que Mario, qui lui privilégie la ressemblance aux originaux plutôt que de nouvelles orchestrations pompeuses (et pompières, avouons-le). Plutôt que de vous abreuver d'anecdotes charmantes, il est préférable de se reporter à l'un de ces magnifiques nerds dont le passe-temps est de faire une fixette sur n'importe quoi puis d'en devenir tellement bargeot qu'il en devient monomaniaque (ce n'est pas l'équipe de Pop Hits qui tomberait dans de tels travers). Jean-François Guerrero a décidé de consacrer sa vie numérique à Franck Pourcel, et c'est follement sexy.
Pour votre plaisir et pour accompagner audiophoniquement la lecture de ce chef d'œuvre de nerderie (futile et donc nécessaire), nous vous offrons quelques pérégrinations dans l'œuvre du Maître, sans, et c'est une bien triste nouvelle encore une fois, pouvoir vous offrir les titres constituant cette cartouche De Grenade à Ispahan, autrement connu sour le nom de Pages célèbres n°11 (et là, je vous entends tous dire "Aaaah b'en oui ! Maintenant, je vois ! Je me disais bien que je connaissais ça par cœur").
Et pour nous quitter au terme de cette saison 1 du 8-tracks battle que j'ai eu un grand plaisir à mener contre (enfin plutôt avec) mon poteau Mus (et là, chacun de sangloter), voici un petit extrait du site précité à propos de ce géant (Pourcel, pas Mus, le pauvre) qui a vendu en disques dans le monde (oui, vous avez bien lu : dans le monde !) plus de 20 fois la hauteur de la tour Eiffel (ce que ne dit pas l'histoire, c'est si les 8-tracks ont été comptés, vu qu'ils font en moyenne l'épaisseur de quatre ou cinq 33t):
Forcément.
C'est lui qui le premier a mis le feu aux poudres en revisitant façon lounge (il aurait même créé le genre selon certains thuriféraires, laissons-les yoyoter) les grands classiques de la musique classique et du patrimoine populaire. Maître à diriger des Raymond Lefèvre et autres Paul Mauriat (ils furent chacun son pianiste), il est d'une époque où les chefs d'orchestre étaient plus célèbres que les interprètes. Aujourd'hui, un André Rieu ne saurait être concurrencé par un gigoteur de fosse d'orchestre, et c'est bien triste à reconnaître.
Certes, Franckie ne joue pas dans le même registre que Mario, qui lui privilégie la ressemblance aux originaux plutôt que de nouvelles orchestrations pompeuses (et pompières, avouons-le). Plutôt que de vous abreuver d'anecdotes charmantes, il est préférable de se reporter à l'un de ces magnifiques nerds dont le passe-temps est de faire une fixette sur n'importe quoi puis d'en devenir tellement bargeot qu'il en devient monomaniaque (ce n'est pas l'équipe de Pop Hits qui tomberait dans de tels travers). Jean-François Guerrero a décidé de consacrer sa vie numérique à Franck Pourcel, et c'est follement sexy.
Pour votre plaisir et pour accompagner audiophoniquement la lecture de ce chef d'œuvre de nerderie (futile et donc nécessaire), nous vous offrons quelques pérégrinations dans l'œuvre du Maître, sans, et c'est une bien triste nouvelle encore une fois, pouvoir vous offrir les titres constituant cette cartouche De Grenade à Ispahan, autrement connu sour le nom de Pages célèbres n°11 (et là, je vous entends tous dire "Aaaah b'en oui ! Maintenant, je vois ! Je me disais bien que je connaissais ça par cœur").
Et pour nous quitter au terme de cette saison 1 du 8-tracks battle que j'ai eu un grand plaisir à mener contre (enfin plutôt avec) mon poteau Mus (et là, chacun de sangloter), voici un petit extrait du site précité à propos de ce géant (Pourcel, pas Mus, le pauvre) qui a vendu en disques dans le monde (oui, vous avez bien lu : dans le monde !) plus de 20 fois la hauteur de la tour Eiffel (ce que ne dit pas l'histoire, c'est si les 8-tracks ont été comptés, vu qu'ils font en moyenne l'épaisseur de quatre ou cinq 33t):
Apprécié de tous, Michel Drucker disait de lui : "Dans ce monde étrange du show-business où quelques fausses valeurs et beaucoup de marchands de vent circulent et s'agitent avec un aplomb qui me laisse parfois songeur, je connais un monsieur distingué dont le physique ressemble davantage à ceux qu'on rencontre à l'Ecole Nationale d'Administration qu'à ceux des coulisses des music-halls. Franck Pourcel est la discrétion, la modestie même. Et pourtant ! Sans bruit, sans battage, cet homme tranquille, à la silhouette de jeune premier, a enregistré et vendu dans sa vie plus de disques que plusieurs vedettes françaises réunies. Sa carrière est mondiale : de Limelight et Blue tango à l'hymne à Concorde en passant par Only you, il est le premier chef d'orchestre français à avoir réussi aux Etats-Unis."
Mais ça, évidemment, seul Drucker ose le dire.

