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le ouèbe résolument 7.0

Pop Hits, le hit parade chanté, c'est 10 ans, 54 albums vinyl (et quelques musicassettes), 634 reprises de chansons et quelques inédites, les pochettes les plus cheesecake de la galaxie, la qualité française aux éditions Musidisc International, une quintessence musicale orchestrée, dirigée et digérée par le Ray Coniff hexagonal, Monsieur Mario Cavallero en personne : c'est Pop Hits, le hit parade chanté.
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This web site is dedicated to a french series of cover compilations of "hits" during the 70's : Pop Hits, le Hit parade chanté. Songs of the moment (the best and the worst ones) were badly covered by Mario Cavallero, his orchestra and his singers. The seasonal productions were magnificaly packed into cheesecake covers. In fact, the main (only ?) interest of this site. Check out in priority our Des pochettes section to watch and enjoy this artwork, climax of the french touch.

Les Plus Du Service Pop Hits

écoutez, c'est le son Pop Hits

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10 août 2008 7 10 /08 /août /2008 00:10




Atteution : la version normale du présent billet est risquée pour les épileptiques, alcooliques, enfants de moins de 36 mois et autres grognons qui flippent leur race en zieutant des images qui bougent trop vite.

Pour la version statique de ce billet, vous pouvez aller . 



Ils ont du bien torturer les fourmis quand ils étaient tout petits, les Mengele de l’indie pop, pour arriver si jeunes au paroxysme du sadisme musico-traumatique. OK Computer fut savamment élaboré comme instrument de ravage des esprits des petits-bourgeois occidentaux, présensibilisés à jouir dans l’agonie émotionnelle de mélopées neurasthénésiantes et suicidogènes. Plus cyniques et intelligents que ce que le wakenwo avait pu offrir jusques céans, Pink Floyd, Talking Heads, Lou Reed et autres Joe Jackson réunis, Radiohead est le nom de ce gang bien rodé pour découper avec délectation sur leur planche de boucher avec leur couteau à tartare les nerfs et âmes de leurs foules fanatisées et en tirer tous les fruits qu’un authentique groupe de rock peut espérer : puissance, dévotion, gloire. Et plein de flouze.


Oui bon d’accord, cet album n’est pas mauvais, loin de là. Ce n’est pas la question d’ailleurs, si ce n’est que, par des artifices émotionnels bien calibrés, la critique et le public perdent toute distance pour replacer cette musique pour ce qu’elle vaut : une collection de ballades geignardes et de rocks un peu énervés, entrelardés de langueurs mollassonnes propices à l’évasion lacrymale ou plus, selon qu’on aura pris en excès comme il se doit les doses requises de valium, binouze ou colle à PVC, selon arrivage. Écouté à jeun et si on n’a pas de problème au boulot, avec sa mère, sa banque, sa moitié et sa bagnole (ce qui n’est pas le plus évident du monde, c’est bien là la ficelle), OK Computer révèle sa tendance à enquiller les jérémiades en un chapelet spécifiquement peu primesautier. À croire qu’ils l’ont fait exprès. D’ailleurs : ils l’ont fait exprès.


Reprenons vaguement par le début. Objectivons. Analysons, décortiquons, disséquons, autopsions. Sortons du pathos et du plan market’ qui nous a mis dedans. Les idées froides, la tête à l’ombre, les pieds au soleil. L’album a été conçu assez tardivement dans les années 1990, à une époque où papes du trip-hop et autres cadors de la production hyper-léchée avaient su reprendre et parachever le labeur inachevé de la cold-wave des 80’s : faire chialer pour rendre dépendant, rendre dépendant pour obtenir pouvoir et subsides. Bon, dit comme ça, cela fait un peu parano et caricatural, mais si on garde les grands principes et qu’on se replonge dans la construction de l’album par les 5 intellos d’Oxford, ça paraît déjà nettement plus effrayant de calcul.
Ainsi, l’attaque du cédé (Airbag) a été conçue pour "faire du DJ Shadow", si on en croit difficilement nos oreilles et plus facilement les aveux que firent nos loustics. Le premier single et deuxième morceau, c’est tout pire encore plus :  Paranoid Android est une resucée du principe de Happiness is a warm gun, où Lennon avait composé d’abord 3 morceaux, puis les avait accolés pour faire une pièce complexe en trois actes. Let Down fut conçu pour finir "à la Portishead". usw. Plus généralement, sur Paranoid Android comme sur la plupart des autres chansons, les Radiohead ont expliqué diversement mais avec le même fil rouge qu’ils souhaitaient refaire un truc à la Abbey Road, le dithyrambique dernier album enregistré par les Beatles, dans les studios londoniens d’Abbey Road, justement là où nos 5 fripouilles avaient décidé de parachever les enregistrements des bricolages pondus dans leur studio d’Oxford.

Oh, on dira aussi bien souvent qu’il y a justement dans ce très étiré Paranoid Android un quelque chose de Bohemian Rhapsody. La facilité journalistique est à cet égard assez réjouissante pour qui souhaite se réconforter en démontrant qu’un appointé officiel peut raconter des bateaux aussi gros qu’un blogueur amateur. Parce que bon, faut quand même pas pousser mémé dans les orteils, la longueur et le foutraquisme de pièces pseudo baroques ne sauraient à elles seules justifier cette assertion. Celle-ci permet surtout de glisser incidemment, nonobstant et en loucedé que c’est grâce au subtilissime gratteux de Queen, Brian May, que Thom Yorke a décidé de devenir la plus grande rock star du monde, comme ce petit prétentieux aimait déjà à le narrer à ses acolytes de cours d’écoles qui faisaient bien alors de lui foutre des roustes dans sa petite trogne d’oiseau battu. De toute façon, il avait déjà un nœnœil crevé, ça rajoutera à son image de marque de rat écorché évadé d’un labo de manipulations neuropsychiatriques. Tout bénef.



Figure B : "Quoi ma gueule ?" (variation par Jean-Claude Goldberg). Photo Vidal-Lablache
 

Thom Yorke, justement, et son triple mobile : l’apparente rancœur d’un physique faussement disgracieux (Jouvet, Simon et Gainsbourg nous avaient joué la même serinette, et ils savaient tout aussi bien emballer ; y a quand même pas que des Damon dans la vie, faut sortir les mecs (quand je dis les mecs, j’embrasse aussi les filles hein)), le cerveau d’un médaillé Fields, tout ça couplé à la sagacité créatrice d’un Wolfgang Amadeus M. Et vas y que je te construis un beau mythe propre à justifier toutes les démarches un peu hors des voies traditionnelles des groupes de rock même un peu subtils. On fera ainsi passer la pillule d’albums hyper-produits (ah : Nigel Godrich... fils illégitime de Phil Spector et Bob Ezrin, pluggé avec un peu de la moelle épinière de Brian Eno) et de ces multiples messages ésotériques propres à faire accroire du moindre paragraphe de Bernard Werber qu'il est bon pour l’Encyclopædia Universalis. Et que je te balance des références au Guide de l’auto-stoppeur galactique, à la chance de ne pas crever dans un accident de voiture grâce à des airbags potentiels, aux voyages d’infraterrestres depuis les dylannesques profondeurs de notre planète, à ces yeux brûlants qui vous regardent dormir à travers vos vitres parce que vous avez oublié de tirer les rideaux mais heureusement que vous avez un bouton d'alarme, à des robots paranoïaques, à une Sarah qu'on invite à me tuer et autres police karmique... Ron Hubbard, réveille-toi : ils sont devenus fous !

On aurait bien tort de mésestimer ces raisons fallacieuses mythifiant Yorke, son cerveau, sa vie difficile, son charisme de télévendeur d’aspirateurs de table et ses 4 poteaux boutonneux, parce qu’elles sont la clé de voûte et la pierre angulaire de l’édifice de la carrière du groupe, OK Computer posé comme la construction emblématique des plus juteuses et des plus explicites.
N’hésitons pas à jeter de côté les apparentes nouveautés de l'album, et replongeons-y pour en exhumer la discographie finissante déjà citée des Beatles, les concept albums lénifiants des grands de la progressive que furent Pink Floyd ou Genesis, les bidouillages au cœur des parcours scolaires des producteurs les plus émérites, les disques des pontes de l'electro down-tempo : c’est que du pareil ! Ils ont tout pompé, les sagouins ! De beaux copier-coller, avec même certaines phrases musicales tellement proches (merci Sexy Sadie) que c’en est chelou grave de chez groove.

Plus généralement, c’est l’esprit maléfique de rockers qui ont oublié d’être cons et qui planifient avant leurs albums tels les Patton des charts indés. Pas un poil d’impréparation. Tout ce qui n’a pas été prévu explicitement a été préconditionné par la construction laborantine des conditions optimales, chaque ingrédient posé préalablement sur la paillasse pour que l’alchimie soit au mieux contrôlée, calibrée. Pas d’énervement ni de prises de son en une seule fois : on écrit, on discute, on bavasse, on trace les plans de l’album sur Autocad, on gère le timing et les ressources sur SAP. La méthodologie de projet a trouvé ses maîtres, et les ingénieurs de chez Toyota peuvent remballer leurs 6 sigma et autres total quality managing process. Radiohead pond des albums comme on lance des "innovations" technologiques chez Procter & Gamble : on pique les meilleures molécules existantes, on fignole un super packaging flashy et on alloue un budget com’  pour le lancement digne du PIB des Hauts-de-Seine.


Pas de surprises donc de se retrouver avec des chansons taillées au cordeau sur des mélodies somme toute assez pauvrettes. Aucun étonnement que des cinéastes aussi fins, subtiles et dentelliers que Cédric Klapish priment un No surprises (voir notre vidéo clup ci-dessus, fig. B) et autres OK computeries pour émailler les instants pleurnichards de ses films pour adulescents. Point de révélation que cet album ne fut scientifiquement conçu pour produire autre chose que ce qu’il devait produire.
Le titre de l'album lui-même, semi aveu de l’importance de l’ordinateur, le finale de Let Down dont les bilibilip furent tirés du Sinclair ZX Spectrum que tout nerd bien formé chérit dans son cœur, ou encore la trop évidente liste postmoderne Fitter happier paresseusement récitée non par Stephen Hawking mais via Mackintalk, robot de synthèse vocale dont abusent depuis 15 ans tous les nouveaux possesseurs de  pendant la première semaine de leur acquisition, puis passent à autre chose, on va pas en rester là, quand même. Belle hypocrisie d’ailleurs que de se gausser de Bill Gates, les Radiohead n’étant pas beaucoup moins carriéristes et calculateurs que celui qu’ils cherchent à diaboliser (remarque, c’était légèrement plus courageux que de taper dans le même album sur des politiques déjà retirés des ouatures en 97, Thatcher et autres Major dénoncés au fil des Electioneering et autres occurrences et messages cachés au fil de l’album fourre-tout). 

 

 


On ne va pas éplucher tout l’album, ce serait lourdingue et d’autres savent le faire avec autrement plus de talent et d’à-propos. Reste donc cette tonalité générale de s’être fait avoir mais d’y prendre son pied, consentantes victimes du machiavélisme de ce hold-up émotionnel à peine moins grossier qu'un Von Trier ou un Almodovar. Une bonne chialade, une simili-dépression, un quasi nervousse bréquedone : voilà ce qu’on recherche à l’écoute d’OK Computer. Pas besoin de faire croire par dessus le marché que ce disque est génial. Il est efficace, ni pu ni moins.
 

 

Mais ça, bien évidemment, personne n’ose le dire.

 
La note :  B'en, pour vous faire plaisir...
 

La raison de cette chronique moins Pop Hits que Top of the flops ? Z'avez qu'à suivre le lien et vous informer sur d'autres révélations exclusives et brillantes sur la vérité vraie des baudruches musicales qu'on veut nous faire prendre pour des carrosses.

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commentaires

C
Tutafait MB, je crois que nous sommes d'accod'acc à 172% tous les deux. Ca fait plaisir d'avoir de temps à autres des gens cultivés qui viennent commenter par ici. Tshaw, lol et toute cette sorte de choses.nbf 
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M
Hehehe!  Et moi qui pensai être la seule a penser que Thom York était un Kurt Cobain wannabe sans oser le dire, telement on ensence ce disque...
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C
Fabrice : Bienvenue, et il n'est jamais trop tard pour participer à la curie contre l'intelligentsia musico neurasthénique :o) <br /> <br /> OK Computer, un album à moitié bon ?<br /> <br /> Je réitère ma question précédemment à Thom pour te l'ouvrir, et à Ska éventuellement, lui qui fonctionne à The Bends (mon Dieu, ce que c'est baroque ! ^^) : <br /> - jusque quel morceau trouvez-vous OKC intéressant ? <br /> - Fitter Happier inclus ou exclu ?<br /> - S'il fallait noter chaque morceau, que feriez-vous ? Voire en supprimer de l'album (quitte à ce que cela devienne un mini album) ?<br /> <br /> Airbag<br /> Paranoid Android<br /> Subterranean Homesick Alien<br /> Exit Music (for a film)<br /> Let Down<br /> Karma Police<br /> Fitter Happier<br /> Electioneering<br /> Climbing Up The Walls<br /> No Surprises<br /> Lucky<br /> The Tourist <br /> <br /> Pleurer ou quoi ?<br /> Autre débat, posé subtilement dans le billet et qui fait rebondir wagnerophiles, wagnerophobes et allergiques au lacrymogénisme de Radiohead : Ces artistes font-ils réellement pleurer ? <br /> Pour ma part, comme je le disais avec Wagner, il est assez subjectif de pouvoir se sentir concerné par l'envie de pleurer sur telle ou telle musique. Reste que, pour le public de nos blogs respectifs, fait de petits bourgeois CSP + (hopopop' ! on se calme, je m'esplique : généralement un peu d'études supérieures et la capacité à gagner plus que le SMIC +30%, il ne s'agit que d'un profil général subjectif, à l'arrache et indicatif d'une tendance (non de chacun), pour le fight socio-musico-culturel sur ce sujet, c'est chez GT ou chez l'autre Dieudonné rouge-brun là (désolé GT de te mettre en concurrence avec ce blaireau), mais pas ici plize ^^), Radiohead fait généralement davantage dans le lacrymal que d'autres artistes. <br /> Mais ce n'est pas obligé. <br /> Mais ce n'est pas parce que ce n'est pas obligé que je n'aimerai pas avoir votre avis : alors Radiohead, trop froid pour faire pleurer ? Ou justement, tellement froid qu'il fait pleurer ? <br /> (j'ai spécialement mis la vidéo de UNKLE chanté par Yorke en fin de billet, l'excellent Rabbit in your headlights sur le non moins excellent premier double LP Psyence fiction) Sur ce.KM6 <br />
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F
J'arrive après la bataille…Je suis plutôt de l'avis de Thom, à savoir que je peux écouter la première moitié de l'album. La suite, par contre… m'emmerde royalement ! Comme tout ce que fait Radiohead, d'ailleurs !Quand j'entends (enfin, non, je le lis) que Radiohead sait faire pleurer, là, moi, je suis perplexe. Pour moi, c'est au contraire un groupe on ne peut plus froid. Je trouve qu'il n'y a aucun sentiment qui arrive jusqu'à moi, tout fait calculé, intellectualisé. Et quand ça devient stratégie commercial, ça m'énerve encore plus.Mais bon, merci de t'être occupé de cet album, je n'avais pas le temps de le faire (et puis, pour ça, il aurait fallu que je m'inflige une écoute… ce que j'ai évité depuis plusieurs années !) !
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S
Bah ! ça alors ! Rififi a un blog !!! On nous cache tout, on nous dit rien !Quant au texte, je ne comprends pas, moi, je le trouve pas si mal. D'autant que je n'arrive pas à pondre quoi que ce soit dans le cadre de ce projet collectif, donc...Mais, moi, de toutes façons, c'est The Bends que je préfère...
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R
alors moi je pleure pas sur Wagnermais ça m'arrive d'écouter Wagner, enfin, ça m'est arrivé, parce que bon, déjà écouter Wagner... mais en plus si on pleure pas, hein..99% des gens se fichent de ce que je raconte (laissez-moi 1% svp) mais il fallait bien que je me manifeste pour les 8% des 75,8%  8-l(et merci pour le lien totoff)
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C
Moi aussi, je pleure sur Spinal Tap, parce que j'ai l'âme teut... euh bouffonne.Sinon, je dois avouer que : oui, je t'ai prise pour une bleue, et j'aurais bien aimé que tu ailles à la f**c acheter le plus sérieusement du monde TIST, le mettre dans ton betamax, et découvrir effarée qu'il ne s'agit pas d'un Metropolis spécial Blixa Bargeld dans le cadre d'une Thema L'art franco-germanique dans tous ses états / Rock ist Scheisse (oui, la version allemande est toujours moins prout prout sur Arte).Et là, je riais d'avance.Ha ha ha ha ha ha !aaah......:o/pyh 
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M
Ok, je jetterais un oeil sur Meeting people is easy. Mais bon, tu m'a prise pour une bleue? Genre j'ai jamais regardé Spinal Tap? Arf.D'ailleurs, je pleure aussi en écoutant Wagner, mais ça, c'est parce que j'ai l'âme teutonne.
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C
"Si 80% des gens ne pleurent pas sur Wagner... c'est tout simplement parce que 80% des gens n'écoutent pas de Wagner !" Nan nan, tu oublie que sur les 80% qui n'écoutent pas Wagner, 4,2% pleurent parce que justement, ils ne peuvent pas écouter Wagner.Donc, on arrive à 75,8% + les 10% des 20% qui écoutent, soit 2% donc 77,8%.M'ouais... Ca donne quand même une idée générale assez impressionnante.Faudrait essayer avec OK Computer :oDbhy 
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G
Si 80% des gens ne pleurent pas sur Wagner... c'est tout simplement parce que 80% des gens n'écoutent pas de Wagner ! Par contre, 90% des gens qui écoutent Wagner pleurent en écoutant sa musique (je suis sûr du chiffre) (et 5% des 10% restants ne pleurent pas mais ressentent une furieuse envie d'envahir la Pologne)Arbobo : non ! Wagner Tiso, bien sûr...
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A
Joe Wagner?je préfère Jack Nietszsche
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C
JE pleure sur Wagner. TU pleures sur Wagner. Mais ce que je voulais dire, c'est que 80% (je suis sûr du chiffre ^^) des gens ne pleurent PAS sur Wagner.C'est en ça que c'est relatif. Sinon OK avec ton développement, à 100% (et je suis sûr aussi de ce chiffre ^^).b9m 
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G
Je suis assez d'accord avec arbobo... ça fonctionne un peu moins, dans cet article (néanmoins très bon)... pourtant, moi qui suis encore plus fana de Massive Attack que de Radiohead, moi qui vénère Mezzanine alors que OK Computer n'est même pas mon album favori de Radiohead... j'ai trouvé l'article sur Mezzanine meilleur... même s'il m'a fait souffrir^^... Mais le top, ça reste ton article sur Bashung, totalement hilarant...Mais bon, c'est aussi le fait qu'au fur et à mesure du topofzeflop, on se lasse un peu...Il y a par contre un truc totalement faux... pas dans l'article, mais dans une réponse dans les commentaires... tu dis "Reste que la difficulté à faire pleurer est relative, et qu'on fait difficilement pleurer avec Wagner,"Absolument pas... la musique de Wagner est généralement triste, languissante... c'est l'apogée du romantisme...  Nietzsche adorait au début sa musique, puis l'a détesté, parce qu'elle le touchait trop profondément, parce qu'elle le rendait "malade", parce qu'elle allait trop loin dans les émotions... pour lui, Wagner, c'était de la "musique pour femmes" (très péjoratif sous sa plume de grand mysogine)... de la musique envoûtante, sensuelle, qui s'étire à l'infini... c'est pourquoi il a fini par lui préférer les musiques françaises, italiennes, méditerranéennes, plus droites, carrées, ensoleillées, vives...  Lui et Baudelaire considéraient que la musique de Wagner était une sorte de "drogue"... Baudelaire adorait ça, bien sûr, Nietzsche, non.Proust, Oscar Wilde, Thomas Mann étaient aussi de grands "wagnériens", parce qu'ils se retrouvaient dans le côté hyper-sensible, très émotionnel et envoûtant de la musique de Wagner... donc, pleurer sur du Wagner, c'est tout ce qu'il y a de plus "normal"... 
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A
"beaucoup de journalistes et média assez sérieux (genre Inrocks par exemple, merci de ne pas rire, c'est quand même pas Télé 7 jours)"effectivement c'est différent. Dans T7J il y a des trucs en plus.L'horoscope, au hasard.
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C
> Xavier, en citant Mozart, tu atteins le point Godwin et c'est formellement interdit ! ^^Pour Mogwai, remarque, ces crétins ont bine fait une musique de film sur Zidane, ce qu'i m'a sérieusement entamé le scrotum.> Tous Bon, maintenant il faut quand même pas que vous me preniez trop la tête avec ce billet, je vais devenir un androïde paranoïaque si ça continue : C'EST UNE BLAAAAAGUE ! rogn tu djuuu. > Thom : T'es content hein, t'es content ? Naaa'dinejqc 
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X
bon, il y a débat... pour moi l'émotion ressentie est clairement le gage de la qualité d'un morceau.... et comme dit magda ca n'est pas donné à tout l emonde d'émouvoir. Mais c'est sur le coté calculé qu'on est pas d'accord. Dans ce cas ils sont nombreux à faire de la musique en pensant aux ventes, tant la télé récupère de morceaux "indés" pour faire pleurnicher. pas plus tard qu'aujourd'hui, j'ai encore entendu un Mogwai sur une séquence des JO.parler d'un avant et d'un après ok computer, pourquoi pas... ca ne veut pas forcément dire que l'album est super novateur. quant à Kid A, meme s'il m'a semblé que les médias l'avaient trouvé plus innovant, on peut bien sur trouver des influences. comme sur 99% des productions musicales (mozart compris...)
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C
> Thom ? RDFM ? comment ça ? tu n'avais pas spécifié qu'on ne pouvait pas s'attaquer quand même à d'excellents albums ! Il s'agit surtout de décaniller la surestimation.Wo l'aut' : un RDFM, à moi ! ^^> Magda, Thom : Ui, j'avoue : j'aime. J'adooooore ! ;o)> Thom : à la moitié de l'album ? incluant ou excluant Fitter Happier ?M'ouais, ça se défend. C'est vrai que les morceaux sont moins on the edge à partir de Climbing...> Xavier : Alors là pas du tout, justement ! C'est selon moi justement le caractère hyper-émotionnel qui triche un peu et fait passer des chansons parfois moyennes en bijoux, parce que submergés, nous perdons les pédales, etc. (cf le billet).Mais je conçois qu'on puisse ne pas être d'accord sur ce fait, mais je suis curieux de votre avis là dessus : l'hyper-émotivité n'est-elle pas un trouble dans l'analyse d'une œuvre d'art ? (on ramasse les copies dans 4 h ^^)> Xavier encore : si si, beaucoup de journalistes et média assez sérieux (genre Inrocks par exemple, merci de ne pas rire, c'est quand même pas Télé 7 jours) ont parlé de l'avant et l'après OK Computer. Je ne dénies pas qu'ils aient popularisé à très grande échelle des sonorités propres à l'électro (trip hop, down tempo...) depuis alors plusieurs années, mais ils ont souvent été crédité comme pionniers pour cet album.Mais je crois que nous sommes incidemment d'accord sur Kid A, peut-être légèrement plus innovant (et encore, je me demande si ce n'est pas encore la même chose : un album qui fait davantage connaître des bilibilip et autres productions déjà existantes mais moins connues.) > Magda : Pour Meeting people is easy, cela fait partie de la catégorie des documentaires rock qui suivent le parcours d'un artiste ou d'un groupe durant l'enregistrement d'un album ou une tournée. Il y a eu du bon et du moins bon, et j'espère que GT, Arbobo ou Thom se lanceront un jour dans une série les décortiquant tous.En attendant, je te conseille quand même de jeter un œil à ce film, très riche d'enseignements si tu aimes OKC.Par ailleurs, il faut impérativement que tu découvres le plus grand des rockumentaires : This is Spinal Tap !9wp 
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X
nan, pas convaincu non plus (et pourtant tu m'avais eu sur le  Massive Attack).Parce que tout ce que tu démontes sur cet album n'est pas ce qui a fait son succès. ce qui a fait son succès, c'est des chansons géniales, point barre. pour le coté larmoyant, c'est les autres qui n'en finissent pas de pomper sur cet album pour illustrer des images télé qui ne seraient que betement tristounettes sans cette musique. Radiohead n'a pas voulu faire un album larmoyant.quand au coté révolutionnaire, il ne me semble pas qu'on ait dit qu'OK computer ai inventé quelque chose. Kid A, oui, là on les a posé en précurseurs, mais pas avant...
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T
Dis donc Christophe, c'est pas un RDFM que j'ai apperçu au second paragraphe ? ;-)(private, private...)Allons allons, il est bien ton article, va. Mais on a presque l'impression que tu aimes. Non ? Tu aimes, hein ? Avoue ! :-)M'en fous, je suis le premier à dire qu'OK Computer est album surestimé, une merveille dans sa première moitié qui décline violemment dans la seconde. Et toc.
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M
Ah mais je n'ai pas dit que tu étais méchant gratuitement...De toute façon tu fais bien ce que tu veux de ton avis sur Radiohead. Mais j'ai le sentiment que t uboudes ton plaisir, que tu dissèques un album qui te fait clairement kiffer, comme les gens qui détestent le soap-opera mais se gavent de "Friends", tout en se battant la coulpe. Ah oui, Radiohead n'est pas pionner, je suis d'accord. Radiohead c'est un gros transfo. Mais j'adore ça. C'est vrai qu'OK Computer est un album "facile", genre "musique actuelle pour grand public". Je te rejoins là-dessus. Mais je pleure aussi quand j'écoute Exit music, c'est fatal. C'est comme ça : ils ont un foutu talent, quand même, ces Radiohead. C'est peut-être cela que je trouve dommage : tu bousilles Ok Computer (c'est la règle du jeu et c'est parfaitement ton droit) mais tu oublies de souligner l'intérêt que tu portes au groupe dans son ensemble... J'ai préféré le billet sur Nirvana que je trouvais foutrement bien justifié, en fait. J'aurais bien aimé que tu parles de "Meeting people is easy" justement, car je n'en ai jamais entendu parler, de ce film...
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C
Pleurnicheries : Ce que je ne comprends pas, c'est ce qui est reproché ici : de montrer quelque chose de faux ou quelque chose de vrai ? Je crois que c'est plutôt le second qui pose problème : souligner que c'est difficile d'accepter que Radiohead aime faire souffrir ses auditeurs, et que ses auditeurs adorent ça (j'en suis le premier client, chialant A CHAQUE FOIS sur Exit). <br /> Donc, le lien avec Almo et von Trier, que j'apprécie particulièrement, est effectué sciemment. D'autant plus que je n'ai jamais pu me résoudre à regarder Dancer in the dark, que j'ai en vidéo depuis sa sortie, mais jamais je ne me suis senti suffisamment fort pour me lancer dans ce que je sais qui va me détruire. <br /> Maintenant, je suis tout à fait d'accord sur la difficulté à faire pleurer. Et là, il n'y a pas photo : Radiohead en général, et OK Computerparticulièrement, est l'un des artistes très adapté pour tirer un maximum d'émotions aux visiteurs courants de nos blogs respectifs, dont nous avons pu faire le tour de la sociologie somme toute assez commune récemment dans un pugilat fighto-culturel chez GT.  <br /> Reste que la difficulté à faire pleurer est relative, et qu'on fait difficilement pleurer avec Wagner, même si je connais des personnes sensibles pour pleurer sur Tannhauser. Personnellement, certains morceaux sur le fil du rasoir de QOTSA ou Metallica dans un genre grattes bruyantes (mais néanmoins subtiles), de Nitzer Ebb ou Front 242 dans le genre Electronic Body Music ou autres me mettent dans des états dépressifs particulièrement piqués des hannetons.<br /> Et encore, je ne parle pas de Depeche Mode, qui n'est qu'une machine pop et froide (ou pop et guillerette) pour certains, et qui est une décharge permanente de larmes et de rage mélancolique pour d'autres (par exemple pour... b'en moi tiens).  <br /> Donc, je suis 100% d'accord avec toi Magda : Radiohead est très très doué pour faire pleurer. Cela mérite d'être dit. <br /> Copier-coller : Bon, là, je ne rejette nullement le droit à s'inspirer. D'autant que les inspirations d'OK Computer sont magnifiques. Restent quand même des idées reçues dont il faut tordre le kiki, et c'est bien l'objet de cette série de billets sur des albums dont on trouve qu'on a quand même trop surestimé tous les aspects. Et là, s'il y a bien un point qui est scandaleux, ce sont ceux (pas tous, bien heureusement) qui font accroire que Radiohead a innové, inventé, révolutionné ou je ne sais quoi. Ce qui est quand même un peu fort de café. <br /> Je suis prêt à m'engager dans des batailles d'experts, morceau par morceau, cet album contre d'autres albums, et toutes autres preuves tangibles autre que des assertions péremptoires que Radiohead n'a fait que surfer avec un très grand talent sur des avancées déjà fortement ancrées dans le patrimoine du rock.  <br /> Avec un très grand talent certes, mais qu'on ne nous fasse pas répéter avec la majorité qu'ils furent pionniers. D'ailleurs, je parierais que sur ce point, une bonne partie des lecteurs de Thom et GT (disons que c'est là qu'on s'y livre aux plus grandes démonstrations verbales à la limite de la logorrhée et du point Godwin régulièrement chatouillé) sera d'accord avec le fait qu'ils n'ont pas été si pionniers que ça. <br /> Maintenant, comme je l'ai dit dans ce billet :<br /> - OK computer ? un bon album,<br /> - une très grande qualité émotionnelle,<br /> - mais beaucoup de facilités émotionnelles justement qui exonèrent certaines facilités musicales sous-jacentes (je ne parle pas ici de la production, mais des compositions).<br /> Il suffit d'écouter attentivement les mélodies et compos de Kid A, Amnesiac ou même Hail to the Thief pour s'en rendre compte.  <br /> Sur le mythe du groupe "intelligent" et incompris : bon, on n'en a pas encore parlé dans les commentaires, mais cela soulève la question de la méchanceté gratuite de mon propos.Soulignons d'abord que je me suis même abstenu de parler du film Meeting people is easy, paranoïaque documentaire sorti en marge d'OK Computer, très intéressant mais qui montre bien la difficulté du groupe à rester simple (oh, je sais, ils ont du se coltiner des fans et des journalistes particulièrement débiles, et cela méritait quand même d'être montré. Mais à quel point ? C'est la question). <br /> <br /> Je ne crois pas être bêtement méchant dans ce papier, je me suis simplement forcé à regarder un peu plus objectivement ce que nous adulons tous (OK Computer, nous en ressassons tous des tonnes), peut-être un peu froidement. Finalement, je crois que Math' a touché du doigt le problème, qui n'est peut être pas lié au fond mais à la forme d'un billet apparemment agressif (l'apparence graphique, l'absence d'humour) alors qu'il n'est que démonstratif.Quitte à tomber à plat.eea <br />
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M
Woooooouh là là là là que je ne suis pas d'accord avec toi! Je t'en veux, cher Christophe, pourtant rocker de mon coeur complètement assumé. Mais aujourdh'ui, malgré toute l'admiration que j'ai pour ta prose, je dis NEIN! "Ainsi, l’attaque du cédé (Airbag) a été<br /> conçue pour "faire du DJ Shadow", si on en croit difficilement nos oreilles et plus facilement les aveux que firent nos loustics. Le premier single et deuxième morceau, c’est tout pire encore plus :  Paranoid Android est une resucée du principe de Happiness is a warm gun, où Lennon avait composé d’abord 3 morceaux, puis les avait accolés pour faire une pièce complexe en trois actes. Let Down fut<br /> conçu pour finir "à la Portishead". usw.": ben oui, mais... moi, je m'en fous complètement, qu'ils aient pompé des trucs à droite et à gauche! Tout le monde pique des motifs, des idées : Wenders (mon Dieu sur terre) l'assume complètement, par exemple, son cinéma est truffé de références, de copier-coller... mais quand le talent est là pour transformer la matière première, peu importe! "ne collection de ballades geignardes et de rocks un peu<br /> énervés, entrelardés de langueurs mollassonnes propices à l’évasion lacrymale ou plus" : pas si facile pourtant de faire pleurer en musique. Céline Dion ne me fait pas pleurer. Puccini, oui. Y a pas photo, c'est pas le même topo. Pourtant, je pleure devant "La petite maison dans la prairie", ce qui prouve que j'ai la larme facile. Mais la musique, c'est subtil.Même si je ne partage pas complètement l'avis d'Arbobo (je trouve ton article bien écrit) je le rejoins quand il écrit : on n'a pas assez d'énormités<br /> sur lesquelles s'appuyer pour en prendre.Et en plus, t'es allé égratigner Lars Von Trier et Almodovar, et là, attention, je vais crier! Ok, "Breaking the waves" et "Dancer in the dark" sont larmoyants, bien que le premier soit réussi malgré tout. Mais "Les idiots", "Le direktor", quels p... de films!!! Non, non, on ne tape pas sur Trier comme ça, choubidou, je ne suis pas d'accord. Quant à Almodovar, alors là... je vais tout casser chez toi, Chris, attention à tes poulettes. Parce que c'est ce gros bordel émotionnel excessif que j'adore chez lui. Bon, je te pardonne, parce qu'au moins, tu as enfin écrit un article, et tu me permets en plus d'en débattre, j'adore ça!
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A
:-Dattends, je visualise^^
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C
Je parlais bien de la distance d'analyse de ce billet : Radiohead est comme Lars von Trier ou Almodovar, ils recueillent ce qu'ils sèment, et ce n'est pas par hasard qu'ils mettent en charpie les nerfs de leurs auditeurs, puisqu'ils s'amusent comme des petits fous à tout faire exprès pour. C'est très calculé, et je ne me gêne pas pour le regretter tout en concédant y prendre finalement un grand plaisir masochiste.Quant au reste, paradoxalement, le manque de talent de ce billet ne le dessert pas obligatoirement : l'ayant fait lire à des personnes qui n'y connaissent rien, il a été pour une fois apprécié, parce que comportant moins de conneries habituelles. sicEn revanche, je ne crois pas que l'exercice ait trop duré, parce qu'il y a encore pas mal de choses à faire dans le cadre proposé par Thom. Le résultat du billet du jour est sûrement que je me la pète à donf', typique Principe de Peter : à  force de mettre la barre trop haut, on n'est plus compétent pour ce qu'on veux faire.Ou dit autrement : à péter plus haut que son cul, on se chie sur la tête.szk 
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A
je reviens de la version statique, j'apprécie le changement :-)je faisais à "mario" les réflexions amicales mais peu amènes suivantes :celui-ci il lui manque quelque chose,<br /> on sent moins la distance et surtout on n'a pas assez d'énormités<br /> sur lesquelles s'appuyer pour en prendre (hormis le mengele initial qui<br /> nous cueille à froid sans nous faire rire).<br /> je ne sais pas dans état tu as écrit ce texte, mais je ne m'étonnes plus des visuels d'épileptique en descente de coke.<br /> pour être plus clair : je le trouve juste méchant, sans rien de<br /> plus. Du coup ça ne m'intéresse pas, il me manque ton talent pour nous<br /> embarquer sur la station Mir comme tu le fais d'habitude. On finit par<br /> penser que tu leur en veux vraiment de quelque chose.<br /> bref je suis un peu décontenancé.<br /> ou alors est-ce que l'exercice a duré un peu trop et que le jeu m'a déjà lassé?<br /> possible aussi.<br /> ce à quoi il me répond :"je ne suis pas sûr que tu n'aies pas raison.<br /> sauf sur la distance : je suis effaré du calcul qu'ils font avant, et en préparant le billet, mon impression a été démontrée.<br /> Ce qui n'enlève rien à leur talent."mais je aprlais de ta distance, dans l'article, et par suite la distance que nous sommes censés prendre à la fois vis-à-vis de l'album et de l'article, distance nécessaire pour que ce dézinguage ne soit pas un acte de méchanceté (aucun intérêt), mais un instrument de sevrage. Puisque nous savons bien que ce disque fait partie de notre liste des albums "nécessaires".
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A
eh bien moi je préfère souffrir paisiblement ^^
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R
il faut reconnaitre que la version statique est plus facile à lire.en même temps, le dynamisme enjoué de la prose de notre Mario Jr et l'activité frénétique des petits bonshommes Nn'B ne font que donner plus d'éclat et de saveur à une analyse sans concessions de la manipulation perverse des masses par les ouïes. C'est comme la note, le plaisir de faire souffrir  ;-p
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M
Pareil qu'Arbobo, chepeuxpas lire.C'est infernal ces machins qui bougent, ça nique les zoeilz.
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R
c'est pophits v3.12  ;o)
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A
juste 1 truc : tous ces trucs qui clignotent ont eu sur moi un effet immédiat :tant que tu les laissera je me refuse à lire cet article.insupportablec'est sans doute délibéré, mais déjà un ça me rend agressif, là j'ai juste envie de later mon ordi.tu me diras quand ce sera "réparé", que je puisse profiter du texte :-(
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